Jette, où les droits humains sont fondamentaux
Jette peut-elle faire la différence ? Certainement. Le futur des droits humains doit reposer sur une assise locale citoyenne. La commune entreprend plusieurs actions dans le cadre de la défense des droits humains. Le but est de sensibiliser les Jettois sur l'importance des droits fondamentaux et de leurs différents aspects : droits des enfants, migrations, justice sociale, justice climatique, discriminations raciales ou de genre, solidarité internationale,...
L'adoption de 3 personnes en danger
Qu'est-ce que cela signifie concrètement ? Via Amnesty International, le Collège a adopté 3 personnes en danger : Mohamed Aser (Egypte), Issa Amro et Farid al-Atrash (Palestine) et s’est engagé symboliquement à se mobiliser contre l’impunité des mariages précoces et forcés au Burkina Faso. Les Jettois sont invités à venir exprimer leur solidarité et leur attachement aux droits humains, lors des tables d’écriture qui seront organisées à l’occasion de différents événements.
La commune a déjà pu témoigner de son engagement en faveur de la défense des droits humains lors de différentes actions. Fin 2019, l'expo Migra Focus a eu lieu dans La Maison communale et la semaine du commerce équitable 2019 avait établi un focus sur les conditions de travail des femmes et enfants dans le domaine du textile. Un marathon des lettres a également été organisé par Amnesty International en collaboration avec des services de l’administration communale lors du week-end du marché de Noël, à proximité de la date d’anniversaire de l’adoption de la déclaration universelle des droits humains. Mais Jette entreprend également des actions symboliques, comme la nouvelle nomination de la salle du conseil en 'Salle des Droits Humains'.
Les droits humains sont également le thème central du parcours de fresques. Cela leur donne également une place dans les rues de Jette et dès lors une visibilité permanente.
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Cliquez ici pour découvrir l'histoire de Aser Mohamed, des mariages forcés au Burkina Faso et d'Issa Amro et Farid Al-Atrash